culture - Le blog de Glorfindel

16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 17:11

La 5° "Robe" ...!

Il y a plus de 4 mois maintenant que je ne vous ai pas montré d'œuvre de "AmB" : pour vous en faire "ramentevoir", cliquez !

L'effeuillage se poursuivait-il ? A vous de le dire :

Ca ne va pas faire un pli ...!

"Pastelant, Non ?"

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 17:00

VUVUZELAS : Fallait pas la leur donner, la Coupe !

Les retransmisions télévisuelles des matchs de la coupe du monde - F.I.F.A. de football sont littéralement pourries par un fond sonore évoquant le bourdonnement d'un essaim d'abeilles sauvages africaines (que j'ai bien connues), mais avec une intensité de bruit qui, dans les stades, est voisine de celle d'un avion au décollage, soit 130 décibels !

Cliché de Dundas Football Club

Selon un Sud-Africain, interviewé par France2, ce serait l'expression de la culture de son pays : quoi, emmerder le monde entier serait l'expression d'une culture Africaine ?

En fait, à l'origine, les vuvuzélas sont en bois, parfois en étain; ils ne devaient pas faire le même bruit (je parle ici de la fréquence du son, qui, avec le plastique bon marché, se situe dans la partie haute du spectre auditif conversationnel, là où le système auditif est le plus vulnérable !) Parce que le problème se situe bien là : parmi les spectateurs directs (dans les stades) il va y avoir beaucoup de traumatismes sonores, dont des graves (le problème avec les aigus, c'est que parfois c'est grave), et, partant, beaucoup de surdités séquellaires; c'est ce qui s'appelle "casser les oreilles des gens". NON, fallait pas leur donner l'organisation de cette coupe du monde ! Leur culture ? Ce sont eux qui ont inventé le plastique ? Plutôt Du Khon de l'Humour ! Déjà qu'ils n'ont pas inventé l'eau fraîche, ni la poudre à couper le beurre ....

Remarquez bien que les Sud-Africains ne sont pas les seuls, sur ce continent, à se tromper en parlant de leur culture ...

En Afrique Centrale par exemple, tout le monde est persuadé que le manioc est une marque culturelle importante, alors que la plante (Manihot esculenta), originaire d'Amérique du Sud, a été importée par les responsables blancs du commerce et du transport des esclaves à travers l'Atlantique, dans le cadre du "commerce triangulaire" : le manioc, cultivé en zone intertropicale Africaine, était chargé sur les mêmes bateaux que les esclaves pour les nourrir à moindre frais pendant le voyage. Comme "racines" (dans tous les sens du mot) on fait mieux !

En Afrique de l'Ouest, autre exemple, chacun vous dira que le riz est indissociable de l'identité culturelle du coin; or, une fois de plus, le riz a été importé (pas la culture du riz, mais les brisures de riz produites par ses autres colonies du Sud-Est Asiatique) par le colonisateur pour écouler les brisures dont la métropole ne voulait pas. Il faut dire qu'un bon "Thieboudienne" (riz au poisson, plat national Sénégalais, roboratif mais délicieux !) ne peut pas se faire avec autre chose que les brisures de riz ! Le Sénégal produit du riz, beaucoup plus cher que le marché international, ce qui pose d'autres problèmes, dont il est hors de propos de parler ici et maintenant. Et la République du Sénégal dispose d'usines pour .... briser le riz !!!!

En attendant, les supporters Sud-Africains nous les brisent et nous pourrissent la fête, et il n'est pas certain que je persiste dans ma fidélité devant mon écran ! Si je connaissais tous les joueurs de toutes les équipes, j'arrêterais le son de ma TV; mais ce n'est pas vraiment le cas ....

J'avoue que ça me tape un peu sur le système ....

Les joueurs ne s'entendent pas, et ils entendent encore moins les consignes de leur entraîneur; parfois, ils n'entendent même pas le sifflet de l'arbitre, ce qui a valu un carton jaune à l'un d'entre eux ! Plus grave, il semble que ce son violent, monocorde et lancinant, finisse par endormir les joueurs ... Parce qu'à part l'Allemagne, qui a simplement rempli le contrat face à l'Australie (4 - 0), ce qui lui vaut des superlatifs hors de propos, on n'a pas vraiment l'impression que la Coupe du Monde de Football ait vraiment commencé : il n'y a pas que la FRANCE, donc, qui soit nulle !!!

Surtout, et c'est une grande déception pour moi, il n'y a aucune ambiance de fête dans les stades : seulement les VUVUZELAS ! Il y a pourtant autre chose dans la culture locale, par exemple les chants et les danses ZOULOU !

Copyright : FC Georgio

Sujet : Zoulous (Shakaland),

Lieu: Province du Natal, Afrique du Sud,

Année : 1991

Il faut bien dire que, chez les supporters de football, il y en a beaucoup qui "n'ont pas l'eau à tous les étages", et pas seulement dans des pays lointains !

J'espère seulement que le type qui gagne beaucoup de pognon en vendant ces vuvuzélas en plastique soit Sud-Africain (ça fera une retombée financière au moins sur le pays) et .... qu'il devienne riche et SOURD !!!

"Entêtant, Non ?"

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 16:25

La 4° "Robe" ...!

Parce que, en effet, ce n'est pas la même robe; ni la même œuvre de "AmB". Il y a dans la série, selon moi, une certaine logique, que vous percevrez peut-être lorsque j'aurai fini de publier la série ...

Ce billet est la suite de celui de Janvier 2010 ...

Voici donc cette "Robe"

Copyrigth "AmB"

N'avez-vous pas l'impression que le modèle,

"la femme invisible",

se livre à un effeuillage coquin ?

[Je demande pardon à l'Artiste !]

"Dédrapant, Non ?"

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 15:28

Marc Pottier - Chroniques d'Elliott et Janvier: des Primés ...

Jeux de Mots, ... ou Jeux de Maux maladifs, ... ou bien encore Jeux de Meaux ... mais, n'en faisons pas un fromage ! (le bris va éCopé !) Pour les calembours bons, suivez le guide Marc Pottier, qui nous parle "des Primés" sans lettre ...!

Des Primés

— Elliott : Si les livres ont un prix, les prix sont littéraires.
— Janvier : Mettez m’en un kilo !
— Elliott : Il y en a un peu plus…
— Janvier : Laissez c’est pour offrir.
— Elliott : Vous verrez, vous en serez très content.
— Janvier : Vous avez toujours su me satisfaire.
— Elliott : Vous me flattez.
— Janvier : Je ne suis pas flatteur, je respecte trop les mots qui sortent de ma bouche.
— Elliott : Mais à part ça comment vont les affaires ?
— Janvier : Ma conscience est entre le couci et le couça.
— Elliott : C’est là un bel endroit, on y est à l’abri, sans bien savoir de quoi.
— Janvier : L’important est bien d’être à l’abri.
— Elliott : Si l’abri correspond au danger c’est certain.
— Janvier : Il est vrai que l’on ignore souvent d’où vient le danger.
— Elliott : Et il n’est pas facile de multiplier les abris…
— Janvier : … cela contribue à multiplier les dangers
— Elliott : Mieux vaut vivre serein !
— Janvier : Serein, je ne vois rien venir !
— Elliott : Que la route qui poudroie…
— Janvier : Ou l’éclair qui foudroie !
— Elliott : Serein n’est pas dans la déprime ! Les primés ne sont pas à l’abri du danger.
— Janvier : Ils le sont d’autant moins s’ils se livrent.
— Elliott : Plus ils font de livres plus ils s’exposent.
— Janvier : Certains explosent sans s’exposer.
— Elliott : Le contraire peut contenir aussi sa vérité.
— Janvier : Les prix les priment, les jurys les encensent ; les critiques les descensent.
— Elliott : Si les jurys les élisent, l’important reste qu’on les lise.
— Janvier : Je prends ton propos à la lettre. N’as-tu jamais écrit ?
— Elliott : En ma tête seul j’écris.
— Janvier : Mais qui donc vient te lire ?
— Elliott : Toi parfois…
— Janvier : J’aime assez certaines de tes pages ; mais hors moi ?
— Elliott : Tu es mon seul public !

— Janvier : Cela reste privé ! Couche tes mots sur le papier, le vent emportera tes feuilles vers des yeux inconnus.

— Elliott : Quel y serait mon intérêt ?
— Janvier : Si assez d’yeux te lisent peut-être un jour seras-tu primé !
— Elliott : Je n’en ai pas le rêve.

— Janvier : Les podiums, les éloges, les flashs, les interviews, la gloire et le succès !
— Elliott : N’est-ce pas le danger ? Pourrais-je encore rêver ?
— Janvier : On rêvera pour toi, tu n’auras plus besoin de te fatiguer, seul te laisser bercer.
— Elliott : Lors je perdrai ma lune ! Je me berce tout seul et si c’est d’illusion je parviens toujours à m’endormir.
— Janvier : Serein, et sans soucis ignorant les dangers ?
— Elliott : Nos rêves les plus fous savent nous protéger.

Alors, me direz-vous, quel rapport entre Jacques BREL et Marc POTTIER ? ... Aucun, à ma connaissance ... sauf peut-être l'île au soleil ...!

"Etonnant, Non ?"

Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net

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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 17:01

Du même Yves JAMAIT, il y a aussi "Caresse-moi" ...

Ô OUI !!! J'en ai bien besoin ... pour retrouver la forme ! Enfin, je vais moins mal que si j'allais pire : il y a de l'espoir pour bientôt, même si je n'ai pas encore le courage de travailler beaucoup sur mon blog, ni même de me promener sur les vôtres ...
J'en ai même oublié la Saint-Patrick : pardon à tous les Patrick de ma connaissance ! (En fait un seul, mais quel Patrick !)

Depuis 3 semaines qu'on m'a enlevé cette glande ridicule, je me suis contenté de répondre à vos commentaires de soutien; et comme vous ne m'avez pas beaucoup fatigué, je devrais retrouver "la frite" plus vite ....!

Yves Jamait : "Caresse-moi"

Au fait, une thyroïde saine devrait ressembler à ça :

Chez moi, c'était plus proche de ça :
(j'exagère un tout petit peu !)

J'en vois "des" qui étaient volontaires pour me caresser (dans le sens du poil ?), et qui ne sont plus du tout volontaires ...

"Etonnant, Non ?"

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 18:30

La Robe a donc des Suites ...!

J'en avais évoqué l'éventualité, l'an dernier déjà, le 29 novembre : grâce à AmB, l'effeuillage continue. Mais, en tout bien tout honneur, avec ART :

Place au pastel !

Copyright AmB

Est-ce une robe, un tablier, une chemise de nuit, un déshabillé, une robe de chambre, .... Ah! Les hommes ! Quand ils parlent des vestures féminines .... ils sont plus doués, en général, pour les en priver ! Quoique ....

"Enrobant, Non ?"

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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 18:51

Marc Pottier - Chroniques d'Elliott et Janvier: de la Mort

Vous avez aimé "Les Mots", comme moi-même ... D'ailleurs, vous aimez en général Marc Pottier ... Mais aimerez-vous le sujet d'aujourd'hui, qui provoque le plus souvent recul et désaccord ?

— Janvier : La mort nous guette !
— Elliott : C’est un plat régional ?
— Janvier : La - mort - nous - guette !
— Elliott : Ainsi ânonné c’est bien moins réjouissant.
— Janvier : Et plus du tout régional !
— Elliott : Pour autant n’en faisons pas tout un plat !
— Janvier : Il n’empêche qu’elle nous guette.
— Elliott : Cela te tracasse ?
— Janvier : Pas vraiment, parfois cela me questionne, c’est tout.
— Elliott : Je ne serais donc pas le seul à te questionner !
— Janvier : Apparemment.
— Elliott : Tu me vois quelque peu déçu, voire un chouïa dépité !
— Janvier : Tu imaginais que je ne discourais qu’avec toi ?
— Elliott : Oui : tu es le seul avec qui je discours, il me plaisait de croire qu’il en était de même pour toi !
— Janvier : Désolé, mais il m’arrive de croiser d’autres personnes.
— Elliott : Avec qui tu discours !
— Janvier : Il n’y a pas de mal à ça !
— Elliott : Sauf si c’est la mort même !
— Janvier : C’est une manière de parler, la mort me questionne ne veut pas dire que je m’entretiens avec elle. En fait je m’entretiens pour l’éviter !
— Elliott : Tu t’entretiens sans elle pour éviter de t’entretenir avec elle ?
— Janvier : C’est à peu près ça.
— Elliott : Quand tu t’entretiens avec moi, c’est aussi une manière de t’entretenir ?
— Janvier : Donc un moyen de ne pas m’entretenir avec elle si c’est là où tu veux en venir.
— Elliott : Ne me remercie pas c’est tout naturel entre amis.
— Janvier : Et pour ce qui te concerne ?
— Elliott : Je ne m’entretiens qu’avec toi. Pour moi c’est moins important puisqu’elle ne me questionne pas.
— Janvier : Pourtant elle existe !
— Elliott : Qu’elle existe ne l’oblige pas à me questionner, ce qui n’est pas ton cas.
— Janvier : N’est-ce pas plutôt toi qui me questionne ? Si on reprenait au départ ?
— Elliott : Au départ tu m’as mis en appétit avec un plat régional.
— Janvier : Ah oui…
— Elliott : Puis tu m’as aussitôt refroidi.
— Janvier : C’est une manière de parler.
— Elliott : Après nous nous sommes entretenus de la mort.
— Janvier : Mais elle n’était pas là !
— Elliott : Notre entretien l’a découragé.
— Janvier : Alors que c’est le découragement qui l’entretient habituellement.
— Elliott : Nous allons atteindre des sommets !
— Janvier : D’elle nous serions hors de portée !
— Elliott : Je ne sais si c’est l’air des sommets mais l’appétit me guette.
— Janvier : Il vaut mieux que ce soit lui.
— Elliott : Si nous mangions un peu de mornouguette ?

Et pour illustrer ça, une magnifique photographie (Copyright Luc Viatour) du ciel, Ciel de Mort ou Ciel de Vie, chacun voit minuit à son ciel ... de lit !

La Mornouguette,
c'est pas plus mal que la Mororat !

"Etonnant, Non ?"

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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 16:58

Marc Pottier - Chroniques d'Elliott et Janvier: des Mots

Je vous disais, le 13 octobre dernier :
Je voulais depuis longtemps le faire, publier quelques chroniques de Marc Pottier [marcpottier@hotmail.com], avec son autorisation bien entendu ! Voir aussi http://marc-joseph.spaces.live.com ; ces chroniques, tantôt m'amusent, tantôt m'émeuvent, parfois même les deux. Il n'est pas juste que je les garde pour moi seul: alors, profitez-en !

Si vous avez aimé, c'est le moment d'en reprendre un petit peu, au moment ou l'auteur, ayant terminé la réédition de "Un océan de solitude", se propose de retrouver ses amis Elliott et Janvier. Il m'a d'ailleurs adressé une nouvelle chronique, qui n'est pas celle que vous lirez aujourd'hui, laquelle date du mois d'août dernier, ou de juin ou juillet, je ne sais plus, mais ce n'est pas très important (si ça l'est, l'Auteur corrigera !) : "Des mots".

— Janvier : T’arrive-t-il de te plaindre ?
— Elliott : Que signifie ce mot ?
— Janvier : Tu te moques ?
— Elliott : Au pied du mur le menuisier porte plinthe.
— Janvier : Ce n’est pas de ces plaintes là qu’il s’agit.
— Elliott : Pourtant l’on m’a dit que porter plinthe était mettre quelqu’un au pied du mur !
— Janvier : Certes.
— Elliott : J’aurais manqué quelque chose ?
— Janvier : Il y a plinthe et plainte, elles ont la même musique mais ne sont pas de même sorte.
— Elliott : Combien y-a-t il de sorte de murs ?
— Janvier : Il y autant de sorte de murs qu’il y a de maçons !
— Elliott : Si c’est au pied du mur qu’on voit le maçon, pour autant ce n’est pas lui qui porte plinthe.
— Janvier : On l’y peut voir quand il l’a achevé.
— Elliott : On achève donc aussi les murs ?
— Janvier : Je ne m’y retrouve plus dans ton écheveau…
— Elliott : Le maçon achève le mur et le menuisier porte plinthe…
— Janvier : Il faut tout mettre à plat, trier.
— Elliott : Il y a plinthe et plainte et autant de murs qu’il y a de maçons.
— Janvier : Y a-t'il autant de sortes de plinthes qu’il y a de menuisiers ?
— Elliott : C’est là une question que tu me poses ?
— Janvier : En fait, non je ne sais pas, je parlais tout haut.
— Elliott : Est-ce la bonne manière de parler tout haut pour mettre les plâtriers au pied du mur ?
— Janvier : Les seuls plats triés que je connaisse sont ceux de lentilles.
— Elliott : Il t’en faudrait sûrement une belle pour comprendre les choses.
— Janvier : À la recherche d’une belle lentille au milieu d’un tas de cailloux.
— Elliott : Tu es assez mûr et finiras par trouver, sans tronulaucundoute.
— Janvier : Absolutainement.
— Elliott : Donc m’arrives-t-il de me plaindre ?
— Janvier : Pourquoi dis-tu ça ?
— Elliott : C’est toi qui as ouvert le bal.
— Janvier : Ce n’étaient que des mots.
— Elliott : Les mots se jouent de nous, jouons avec les mots.
— Janvier : Les mots se jouent de nos maux.
— Elliott : Jouons avec les mots.
— Janvier : Jouons nous de nos maux.
— Elliott : Mais reste-t-il du camembert ?

Je sais pas pourquoi ça me rappelle l'histoire du Procureur Eric de Montgolfier qui, à Nice, avait été amené à instruire des Plinthes (?) contre des Maçons .... On en avait fait, aussi, tout un fromage !

:0061:

"Etonnant, Non ?"

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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 16:03

La Robe avait donc une Suite ...? ... Des Suites peut-être...?

Je vous ai présenté, il y a presque 3 mois, la photographie, signée AmB, d'un pastel du même artiste, représentant une robe, oeuvre qui avait généré en moi une intense émotion. Il est avéré aujourd'hui que l'oeuvre fait partie d'une série, que j'ai ordonnée de façon un peu hasardeuse; et je vous présente ici le modèle que j'ai donc classé 2°, toujours avec l'aimable autorisation de l'Auteur AmB :
Source AmB

Mais, est-ce bien le même modèle ? Je n'en ai pas l'impression :

La fibule a disparu (ou du moins la voit-on moins)
Les dentelles qui ourlent le bas "mangent" moins de hauteur
Mais la broderie au pied de la bretelle droite semble identique ...

Mais c'est certain, le talent est le même !!!

"Enrobant, Non ?"

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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 23:31

Puisque :)ciboulette l'exige ...!

Il est vrai que je vous dois une réponse à l'énigme temporelle, et que je devais vous la donner le vendredi 6 novembre 2009 : or, nous y sommes, semble-t'il, et depuis déjà quelques heures. J'ai même été rappelé à l'ordre par une très fidèle correspondante. Je lui dois donc une réponse par rapport au temps qui passe. Sinon, l'eau passe sous les ponts : (et autre chose se passe sur les ponts !)

Je n'ai pas été assez rapide: Kerfon-le-Celte a publié
cette photo aujourd'hui, accompagnée d'un joli texte;
allez donc voir ça, ça vaut le détour !

L'énigme proposée était donc:

"Vulnerant Omnes,
Ultima Necat"
OU
"Toutes Blessent,
La Dernière Tue"

Une futée a trouvé - normal : elle s'appelle RENARD, et elle a droit à un lien sur son blog - et un futé y était presque - Jayesse, et il a droit à un demi-lien ici ! - (Ces blogs sont très intéressants : rendez-vous sur ces liens séance tenante !)

Pendant ce temps, ;)ciboulette trépigne ...!!! Ca vient, ça vient, .....

A partir de notre naissance,
chaque heure qui passe nous blesse,
..... la dernière que nous vivons nous tue !!!

"Terrassant, Non ?"

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