L' impudeur,
c'est comme les cheveux blancs,
ça vient avec l'âge,
plus ou moins vite !

[voir ma page: Pourquoi un blog? ]

2° Rediffusion ...

Cliché :Enrique Matías Sánchez (Quique)

Cette impudeur-là, dont je veux parler, est très bénéfique, car elle nous autorise enfin à exprimer tous ces petits riens, si importants qu'ils font l'essentiel de notre vie. Et qui nous minent le mental quand on les garde, par Pudeur justement ...

Mais les dire à qui ? A soi-même, d'abord: c'est fou le nombre de choses qu'on n'a jamais osé s'avouer. Il s'agit là de l'action d'hygiène mentale la plus importante dans sa propre vie: ne passons pas à côté, et commençons par là ...!

Rien d'autre ne compte autant ...

"Etonnant, Non ?"

Très vieille question philosophique que celle-ci ... Et la réponse, qui se voudrait  surtout scientifique, est au moins autant philosophique que scientifique ! Bon, je m'explique :

Il y a deux angles possibles (au moins) pour aborder cette question de façon scientifique :

• L'angle statistique d'abord : supposons que dans chaque galaxie (il y en a plus de 200 milliards) 1 étoile sur 1 million (il y a 140 millards d'étoiles dans notre galaxie, La Voie Lactée) soit accompagnée de Planètes, comme le Soleil dans le Système Solaire; et qu'une planète sur 1 million soit incluse dans la zone "vitale" autour de son étoile (c'est-à-dire à une distance qui lui permet de posséder de l'eau liquide, et ça c'est une simple question de température !); alors le simple calcul (que vous avez déjà tous fait !) nous montre qu'il y aurait, dans l'Univers, près de 30.000 milliards de Terres potentielles !!! Ce raisonnement repose sur le Principe de banalité, attribué à Copernic, qui nous dit que la Terre n'a rien d'exceptionnel. Principe révolutionnaire à l'époque (16° Siècle) - Révolution Copernicienne -, qui a permis un grand nombre de travaux scientifiques (il est peut-être même le fondement de la Science moderne), et surtout un immense progrès de la Connaissance ... Mais, depuis plus de 15 ans, on a découvert plus de 400 planètes extrasolaires, et toujours aucune analogue à notre Terre ... Et certains commencent à se demander si le Principe de banalité n'aurait pas du "plomb dans l'aile", sans attendre d'avoir pu étudier 1 million de planètes, ce qui serait cohérent sur le plan statistique : donc, nous pourrions ne pas être seuls, mais accompagnés d'autres formes de vie, certaines "intelligentes", et, probablement, certaines plus évoluées que nous (mais est-ce bien difficile ?). Certains, poussant l'étude de cet angle statistique, nous font remarquer, mais "on" ne les entend pas, que ces formes de vie plus évoluées que nous auraient dû entrer en contact avec nous (et pas forcément de manière pacifique !).

• L'angle expérimental ensuite : on sait maintenant que la Vie n'existe pas ailleurs que sur Terre dans le Système Solaire, à tout le moins sous forme un tant soit peu évoluée, donc complexe, même si on pense de plus en plus qu'il y a, ou qu'il y a eu dans le passé, de l'eau liquide sur au moins deux corps du Système Solaire, MARS et TITAN (une lune de Saturne). MAIS ON NE SAIT RIEN DE PLUS, et l'hypothèse d'une forme de vie plus ou moins complexe (bactérie dans une météorite martienne retrouvée en Arctique, acides aminés apportés sur Terre par des comètes, intenses supputations des exobiologistes sur des TERRE-BIS, ...) n'est qu'un argument pour soutirer des crédits de recherche et des financements pour la BIG-SCIENCE, "chère" à Claude Allègre ! (Non, j'déconne !!). Mais pourquoi faut-il nécessairement que la vie ne soit pas apparue sur la Terre ? Elle est au moins aussi qualifiée que n'importe quelle comète pour avoir été le siège de la "Genèse" ! Pour l'instant, aucune seconde Terre n'a été découverte, malgré un satellite tout entier dédié à cette tache (COROT). Je dois à la vérité de dire qu'il y a un biais manifeste et grave d'observation : les hypothétiques secondes Terres sont beaucoup plus petites que les géantes gazeuses déjà découvertes, et elles ont moins d'influence sur leur étoile, influence à partir de laquelle les exoplanètes sont détectées; DONC, STATU QUO ! Pour l'instant, les étoiles étudiées sont situées à moins de 400 années de lumière de nous ...

Aborder cette question d'une manière philosophique, c'est encore et d'abord faire des considérations scientifiques : à quelle vitesse pouvons nous espérer nous déplacer à court terme ? Pour l'instant, la navette spaciale, lors de sa rentrée dans l'atmosphère, voyage à plus de 50.000 km/h, soit plus de 40 fois la vitesse du son dans l'air; et l'on a quelque espoir d'atteindre prochainement (au moins en théorie) le million de km/h avec les futurs moteurs à plasma ionique. On est encore très loin de la vitesse de la lumière dans le vide, que la Théorie de la Relativité nomme "Célérité = c", et qui dépasse 1 milliard de km/h ! Or, même à cette vitesse-là, il nous faudrait 40 ans pour rejoindre une planète située à 40 années de lumière de nous (remarquez qu'on dit "années de lumière", et qu'on abrège "a.l."), et 40 années de plus pour que le message "Victoire : un TRES grand pas pour l'Humanité ..." parvienne sur Terre !

Et il se trouve qu'on ne peut pas raisonnablement espérer dépasser un jour la vitesse de la lumière, ni même l'égaler.

Il y a au moins 2 raisons à cela :

• Lorsqu'on met un corps quelconque en mouvement, ce corps nous oppose une force (nommée "inertie") proportionnelle à sa masse et à la vitesse à laquelle on le déplace. Si l'accélération s'accroît, l'inertie aussi (comme Félicie !). Il y a une relation entre le "Poids" d'un corps (= à sa masse multipliée par l'accélération à laquelle il est soumis; dans la gravitation, n'a-t-on pas parlé de Force de Pesanteur ?) et la Célérité : lorsque la vitesse de déplacement tend vers la Célérité, le Poids du corps tend vers l'infini, sauf si initialement le corps a une masse nulle, ce qui est le cas des photons, vecteurs de la lumière.
•  Lorsque l'on développe certaines équations de la Théorie de la Relativité Générale (CHICHE, je vous le fais ?) on finit par tomber sur une formule contenant un membre ressemblant à ceci

• où "v" est la vitesse du corps étudié, et "c" la vitesse de la lumière dans le vide : vous voyez très "vite" que, si "v=c", le dénominateur est égal à zéro (et on ne sait pas diviser par 0 !); vous voyez également, "très rapidement", que si "v>c", on est amené à calculer la Racine Carrée d'un nombre négatif, ce qui n'existe pas (tous les carrés sont positifs !)

Même si on essaye de se rapprocher de cette vitesse de la lumière dans le vide :

• Il faudra embarquer des quantités d'énergie phénoménales, ce qui sera impossible pour des raisons de disponibilité;
• Il faudrait quand même un temps considérable pour atteindre la plus proche Terre-BIS ! Et si on voyage à la vitesse qui est envisageable à court terme (1 million de km/h) pour rejoindre une planète sur laquelle l'espèce humaine pourrait survivre, à 50 a.l. par exemple (ce qui est très proche), le vaisseau aurait besoin de plus de 50.000 ans !!! 

Alors, il en est temps, revenons à notre titre : "Sommes-nous SEULS dans l'Univers ?"

pour dire que cette question n'a pas de sens pratique !

• Ou bien la Vie n'existe pas ailleurs, mais nous n'en seront jamais surs ...
•  Ou bien on est certains qu'elle existe ailleurs, mais nous ne pourrons jamais y aller, même pas communiquer avec cette autre forme de vie, pour notre plus grand bien peut-être, et ça ne changera rien à notre Vie et à notre Mort ....

Ce que l'Homme

ne peut pas toucher

n'existe pas

!!!

C'est pas beau, la Philosophie ...?

"Etonnant, Non ?"

Voila que je fais mon malin avec des mots comme ça ... Je subodore que ça va m'arriver d'autres fois au long de ce billet ! Allergiques, s'abstenir ! Non, j'déconne : ne partez pas, je vais traduire ... Mais, comme je tiens à vous exposer une idée à moi que j'ai , je suis obligé d'introduire certaines notions sans TROP les simplifier. Les plus réveillés d'entre vous ont peut-être déjà deviné que je vais vous parler de "réchauffement climatique" ?

ALBEDO : tout corps éclairé réfléchit une partie plus ou moins importante de la lumière qu'il reçoit; si la lumière vient du Soleil, on appelle "albédo" d'un corps quelconque, la Terre par exemple, la proportion de cette lumière solaire incidente qui est réfléchie par ce corps. Cet albédo est mesuré par un nombre sans unité compris entre 0 et 1. Pour plus de clarté, on peut parler en pourcentage; donc de 0% à 100%. Chaque surface différente a un albédo différent.  En voici quelques exemples, issus de Wikipédia :

DONC : la glace renvoie dans le "ciel" 60% de la lumière solaire qu'elle reçoit, alors que la surface de la mer n'en "rejette" que 15% au maximum. Malheureusement, je n'ai pas trouvé de mesure concernant l'albédo du tissu de coton blanc (vous allez voir que ça a son importance dans mon propos !), mais on peut penser que c'est au moins 60%.

Clair de Terre sur la Lune, ou lumière cendrée : photo Thomas BRESSON

Ce cliché est très démonstratif :

• Le croissant de la presque encore nouvelle Lune est visible grâce à l'albédo de la Lune vis-à-vis de la lumière solaire qui l'illumine directement;
• Le reste du disque Sélène est visible parce qu'éclairé par la lumière solaire réfléchie par la Terre, preuve indirecte de l'albédo terrestre, que Léonard de Vinci avait déjà compris et expliqué au 16° Siècle.

Si ce corps réfléchit toutes les longueurs d'onde de la lumière visible, ce corps apparaît BLANC; s'il n'en réfléchit aucune, il apparaît NOIR; et s'il réfléchit les longueurs d'onde de manière différentielle, il apparaît de la couleur qu'il réfléchit (par exemple BLEU) ou un mélange de plusieurs couleurs réfléchies (JAUNE+ROUGE=ORANGE). Ce qu'il faut retenir, c'est que toutes les couleurs réfléchies correspondent à de l'énergie (sauf le NOIR qui est une non-couleur, une non-lumière, une non-énergie diffusée); et que c'est une énergie qui n'est pas absorbée par le corps en question. Or, toute énergie absorbée par un corps tend à le réchauffer.

FONTE de la banquise arctique : vous avez tous, je le suppose, entendu dire que, enfer et damnation, la glace de la banquise du pôle nord (Océan glacial arctique) était en train de fondre; cela excite terriblement nos "géants verts, héros sauveurs de la planète malgré elle", j'ai nommé (en fait, je ne les ai pas encore nommés !) Nico Mulot, Jeannot Joues Belles, Viande Ardue Bêlante, et Albert Très Gore. Mais, qu'en est-il exactement ? Si, comme moi, vous recherchez des données sur le sujet, vous allez tomber sur des quantités très différentes de glace perdue, d'un auteur à l'autre ! Ils ne sont même pas d'accord sur la surface "normale" de la banquise avant la fonte ! C'est tout de même très édifiant : il valait mieux qu'on leur donne le Prix Nobel (de la Paix !), car on n'aurait jamais pu leur décerner la Médaille Fields ! (Explication pour les béotiens de tout poil : la Médaille Fields est aux Mathématiques ce que le Prix Nobel est aux vraies Sciences.)

Parce qu'il faut bien fixer les idées, disons que la surface maximum de la banquise arctique (donc début mars de chaque année) était (dans les années normales, avant la fonte, soit la moyenne de 1978 à 2000) selon la NASA qui l'a mesurée par satellite, de 15 millions de km², soit environ 28 fois la France métropolitaine. L'été, la banquise fond naturellement, pour atteindre à la fin du mois de septembre la moitié de cette surface. Mais, en 2005, et pire en 2006 et 2007, la banquise a fondue de manière exagérée, libérant de toute glace en été les deux passages maritimes mythiques du Nord-Ouest et du Nord-Est : la surface avait atteint le niveau minimal de presque 4 millions de km², soit environ la moitié de la "normale" à cette date.

C'est-à-dire que pendant une partie de l'année, celle où le Soleil éclaire la zone arctique, le pôle change de revêtement : il troque la glace (albédo = 60%) contre l'eau de mer (albédo = 15%). Ce qui revient à dire, si vous m'avez bien suivi, que la zone arctique qui a perdu sa glace "à cause du réchauffement climatique" (soit 3.5 millions de km², plus de 6 fois la France), absorbe 4 fois plus d'énergie solaire qu'elle ne le devrait (60/15=4), ce qui échauffe cette eau de mer polaire et contribue à aggraver le dit "réchauffement climatique"!

HEUREUSEMENT , depuis 2007, la situation a changé, pour revenir presqu'à la normale d'avant 2000, au moins selon des données Russes que je vous communique ci-après :

Arctique: la banquise s'élargit depuis deux ans (chercheurs russes)

18:17 01/03/2010 La superficie de la banquise arctique a augmenté de 21% en 2009 par rapport au minimum de2007 pour atteindre 5,2 millions de kilomètres carrés, a annoncé le Service fédéral russe pour l'hydrométéorologie et le suivi

           de l'environnement (Roshydromet).>>

Autres actualités

Est-ce vraiment un problème ? "Ils" disent que oui ! Pourtant, "ils" nous disent aussi que, si les pôles se sont réchauffés beaucoup plus que les zones tempérées et que la zone intertropicale, cette chaleur provient, pour l'essentiel, des transferts d'énergie par les vents et les courants marins (les cousins marants, ça ne veut rien dire !) en provenance des basses lattitudes : "si tu chauffes les quater, tu réchauffes l'épaule !" (Proverbe Japonais bien connu, nippon ni mauvais !)

Parce que, je ne sais pas si vous vous en rendez compte, la quantité d'énergie solaire reçue au sol est étroitement dépendante de l'angle des rayons du soleil avec le sol : ça explique en particulier pourquoi, une vigne, plus elle est septentrionale, plus elle a besoin d'être plantée en coteau ... Les vignobles sont moins pentus dans le Bordelais qu'en Bourgogne, Champagne ou Vallée de la Moselle en Allemagne. C'est dire que, dans l'océan glacial arctique, au-delà de 66°33' Nord (Cercle Arctique), et même fin juin, la quantité d'énergie solaire recue par la Terre par m² est bien plus faible que dans le Sahara. Et, sauf à mettre cet océan en pente face au soleil (~à peu près 45°, soit 100%), la transformation de 3,5 millions de km² de glace (albédo=60%) en eau de mer (albédo=15%) ne risque pas de le faire bouillir; d'autant que la situation a changé depuis 2007 selon les Russes (voir ci-dessus).

Quels sont donc les facteurs influençant le réchauffement climatique :

Les principaux facteurs influençant le réchauffement climatique sont répertoriés sur cette monographie, à l'exception notable du volcanisme et de .... MON idée (forcément, je ne l'ai pas encore exposée !) :

• Variations orbitales de la Terre (voir la Théorie Astronomique des Paléoclimats); je note que personne n'est capable de nous préciser actuellement où en est la Terre de son éloignement de l'Astre des jours, de son inclinaison et de son stade de "précession" !
•  Impacts de météorites : nous serions au courant si c'était le cas !!!
• Variation de l'activité solaire : là, on en sait beaucoup plus; la fin du cycle précédent (de 11 ans) est survenue en 2006, et, depuis, on attendait le départ d'un nouveau cycle qui doit voir l'activité solaire (nombre de taches, en première analyse) augmenter pendant 5 ans et demi, puis décroître pendant le même temps. Or enfin, l'activité solaire vient de repartir (c'est nouveau, ça vient de sortir, fin 2009); il faut savoir que plus il y a de taches solaires, plus notre climat terrestre se réchauffe (ça promet pour les glaces arctiques : ce ne sera pas nécessairement la faute de STAR KOSY en 2012 !) Et au passage, on peut se dire que l'amélioration décrite plus haut par les Russes (j'en vois qui ne suivent plus !) était peut-être en relation avec la paresse du soleil depuis 2006, comme pendant le règne de LOUIS XIV, le Roi Soleil (petit âge glaciaire).
• Et enfin, LAST BUT NOT LEAST, l'activité industrielle, donc les gaz à effet de serre (je n'insiste pas : vous êtes tous des spécialistes, grâce au GIEC et à Claude Allègre !)

Le volcanisme est un puissant modificateur du climat, en ceci qu'il fait baisser les températures sur parfois toute la Terre pendant souvent plusieurs années :

• On se souvient de l'éruption du Pinatubo (Philippines) en 1991 qui avait affecté le climat pendant 4 ou 5 ans, camouflant peut-être l'effet des gaz à effet de serre;

• Plus ancien, le Krakatoa en Indonésie, dont l'éruption explosive gigantesque en 1883 avait tellement affecté le ciel d'Europe du Nord qu'elle fut l'une des inspiratrices de Edvard MUNCH pour sa peinture "Le Cri";

• Enfin, sans remonter à POMPEÏ, l'éruption, à partir de 1783, du volcan LAKI en Islande, a entrainé, non seulement la mort d'une partie du cheptel Islandais avec famine et décès de 20% de la population de l'île, mais aussi la famine dans les Îles Britaniques (avec émigration de masse vers l'Amérique) et sur le continent (certains la rendent responsable de la Révolution Française);

Photo personnelle de Juhász Péter

On ne parle pas non plus des particules de la pollution industrielle et automobile, qui peuvent refroidir le climat par absorption de la lumière solaire incidente; or la grande efficacité des filtres à particules depuis 15 ans est un facteur de réchauffement climatique !

DONC, mon idée qu'elle est géniale :

Y a qu'à ... Faut qu'on ... et que fait le gouvernement ?

Je propose qu'enfin tous les Terriens (6,5 milliards d'habitants survivent encore tant bien que mal sur notre planète) se prennent en charge, comme des grands qu'ils sont !

Il s'agit de se munir de 10 m², en moyenne par habitant, de tissu de COTON BLANC, et de les étendre, qui dans son jardin, qui dans son champ, qui sur son toit, de maison ou d'immeuble ... Ne me dites surtout pas que les pauvres des pays en voie de sous-développement ne peuvent pas le faire : je les ai vus, de mes yeux, s'endetter chaque année pour acheter les plus belles étoffes pour être beaux pour leur fête ! Et puis, ça va stimuler l'économie des pays producteurs de coton, car, si vous avez bien compté, il faut la bagatelle de 650.000 km² de tissu de coton pour réaliser mon idée ! (Tant qu'à faire, par la suite, il faudra prendre l'habitude de ne faire que des habitations au toit BLANC, avec un ALBEDO MAXIMUM ! entre les panneaux photovoltaïques ...)

Nous arrêterons ainsi une quantité considérable d'énergie qui ne viendra pas réchauffer le climat, et les glaces polaires pourront bien fondre si elles le souhaitent ... quoi qu'avec mon idée, elles fondront moins (les zones de basses lattitudes se réchauffant moins, équipées qu'elles seraient de panneaux de Glorfindel !).

Dès que j'aurai découvert combien de watts par m² le tissu de coton blanc peut arrêter en fonction de la lattitude à laquelle il est installé, je vous le ferai savoir ...!!!

"Etonnant, Non ?"

Ce petit poème innocent reçu par courriel et dont l'auteur m'est inconnu ... Peut-être parmi vous quelqu'une ou quelqu'un pourrait-il le dénoncer ?

A U X  C A B I N E T S

Malgré l'humour et la vertu
Il faut ici montrer son cul
Malgré la haine et la fierté
Il faut ici se défroquer
Malgré l'amour et la tendresse
Il faut ici montrer ses fesses.

Poussez ! poussez ! les constipés
Le temps ici n'est pas compté
Venez ! venez ! foules empressées
Soulager là votre diarrhée
Car en ces lieux souvent chéris
Même le papier y est fourni.

Soit qu'on y pète, soit qu'on y rote
Tout est permis au sein des chiottes
Mais ? graine de vérole ou de morpion
N'oubliez pas d'vous laver l'fion
De ces WC tant usités
Préservez donc l'intégrité.

Rendons gloire à nos vespasiennes
De faïence ou de porcelaine !
Que l'on soit riche ou bien fauché
Jamais de classe dans les WC
Pines de smicards ou de richards
Venez tous voir mon urinoir !

Qu'ils s'appellent chiottes, goguenots, waters
Tout l'monde y pose son derrière
On les dit turcs ou bien tinettes
Tout est une question de cuvette
Quand celles-ci se trouvent bouchées
Nous voilà tous bien emmerdés.

Entrez, entrez aux cabinets
Nous raconter vos p'tits secrets
Savoir péter c'est tout un art
Pour ne pas chier dans son falzar.

Si cet écrit vous semble idiot
Torchez-vous-en vite au plus tôt
Si au contraire il peut vous plaire
Affichez-le dans vos waters !!!

Pourquoi Glorfindel fait-il dans l'élégance scatologique ? Probalement parce que bien des choses le font c...r depuis quelque temps? Mais, promis craché (non pas "craché"), il ne le refera plus .... avant longtemps !

"Constipant, Non ?"

Et je pense que vous non plus n'y aviez pas pensé ! Pensez donc ! Moi-même, je n'y avais pas pensé ! Alors, vous ? ... Cessons ces plaisanteries douteuses d'aérogares bondées et saturées, et de voyageurs irrités ! Entre nous, s'ils faisaient comme moi (Rester chez eux et voyager dans leur tête : c'est moins cher, plus rapide et beaucoup moins polluant !), ils ne seraient pas bloqués dans des aérogares saturées ... Ils en oublient même que le volcanisme fait partie des manifestations les plus belles de la "vie du globe terrestre"; la preuve :

On voit bien l'île d'Islande, côte sud-ouest,

et le panache qui file vers le sud-est, c'est-à-dire vers nous ...!

Ce n'est pas aussi grave que :

Ni aussi beau que :

A propos, "ils" se sont décidés à aller dans le nuage pour mesurer sa densité, et donc sa dangerosité :

Ceci étant dit, je vous précise que ce n'est pas ce que je voulais vous dire : sinon, quel rapport avec "je n'y avais pas pensé ...!" ? Hier, je vous ai communiqué un article issu du "jim.fr" disant qu'aucune conséquence sanitaire n'était à redouter de ce nuage de cendres volcaniques. Et bien, je n'y avais pas pensé et le Journal International de Médecine non plus, donc vous êtes excusés, il y a déjà eu des conséquences sanitaires "indirectes"; à preuve ce nouvel article de la même origine et daté du 20 Avril 2010 :

"

Eyjafjallajokull sera-t-il demain le nom d’une nouvelle maladie ? Non, assurent les autorités sanitaires internationales et françaises. Ce samedi, encore, une équipe ministérielle réunie à Matignon autour de François Fillon a assuré que l’éruption volcanique islandaise qui paralyse depuis plusieurs jours le trafic aérien européen et mondial ne présente « pas actuellement de risque pour la santé, du fait de la haute altitude et de la dispersion des particules ».

Le diagnostic du Premier ministre n’est-il cependant pas un peu rapide ? Différents symptômes tendent en effet à suggérer que la France pourrait être touchée par un syndrome Eyjafjallajokull. Celui-ci touche ainsi des dizaines de médecins, bloqués à l’étranger et qui n’ont pu regagner leurs hôpitaux ou leurs cabinets. Il ne s’agit pas toujours d’un épiphénomène. Ainsi, on compte quatre-vingt dix cardiologues exerçant en région parisienne, membres de l’association franco-israélienne en cardiologie (AFIC RDIO) aujourd’hui bloqués à Tel-Aviv où ils assistaient la semaine dernière à un congrès. Par ailleurs, certaines associations de praticiens commencent à recevoir des témoignages de médecins, souvent très en colère face au manque d’informations. Le site « The heart.org » rapporte ainsi que le chef de service des Urgences SMUR de Montbard (21) lui a écrit afin d’évoquer « l’inertie des tours opérateurs, quasi mutiques quant à la suite des événements ».

Bloqués sur leur lieu de vacances ou de congrès, les médecins français pourraient cependant se montrer utiles pour prendre en charge les patients qui attendent dans les aéroports du monde entier. En effet, les mêmes restrictions pesaient encore hier sur les vols sanitaires que sur le reste du trafic aérien. Le ministère des Affaires étrangères a cependant assuré que les urgences médicales étaient aujourd’hui gérées et que les médecins des consulats « sont consultés ». Pour l’heure, aucun drame n’a été heureusement déploré. Cependant, des situations difficiles existent. Europe Assistance et Mondial Assistance ont ainsi rapporté plusieurs cas de patients atteints de maladies chroniques en rupture de stocks de médicaments, tandis que plus d’une dizaine de ressortissants français blessés pendant leurs vacances ont dû être hospitalisés sur place faute de pouvoir être rapatriés.

Ceux ne sont pas seulement les malades bloqués loin de chez eux qui pourraient pâtir aujourd’hui très fortement du nuage de cendres volcaniques. Des patients en attente de greffe ont déjà été pénalisés partout en Europe. Ainsi, selon la BBC, seize greffes de moelle osseuse ont dû être reportés. Partout on tente de privilégier les receveurs proches, pour éviter que les organes n’aient à parcourir de trop longues distances ce qui se révèle souvent périlleux au-delà de 250 km. Il n’est cependant pas toujours possible de trouver un receveur proche : « Ce week-end, à Brest, nous n’avons pas pu prélever un cœur. A cause, des restrictions dans l’espace aérien, le transport du greffon aurait été impossible », signale ainsi le docteur Alain Atinault, de la direction prélèvement greffes de l’Agence de biomédecine, cité par le Figaro.

Concernant les médicaments, les inquiétudes seraient moindres en France métropolitaine, en raison de stocks importants et d’un transport par fret routier souvent privilégié. Cependant, dans les départements d’outre mer, la situation « est suivie avec une attention toute particulière » indique-t-on au sein du gouvernement. « Les produits sensibles qui pourraient manquer sont acheminés par les agences de santé en priorité sur les quelques vols actuels en provenance du sud de la France » précise-t-on encore. L’approvisionnement des pays en voie de développement est également en question. A Cotonou, un médecin rencontré par un journaliste de la Croix s’inquiétait de connaître prochainement des pénuries.

Aurélie Haroche

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"

Comme quoi,

on ne peut pas penser à tout !

"Etonnant, Non ?"