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14 octobre 2009
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13:01
Vous avez aimé ? ( Marc Pottier et l'Océan de Solitude ) Vous en reprendrez bien un petit peu ... Elliott et Janvier nous parlent de politique: tout un programme !
— Janvier : Pourquoi te tente-t-elle ?
— Elliott : Beaucoup de gens sont dans l’attente.
— Janvier : Peut-être n’est-ce pas toi qu’ils attendent ?
— Elliott : Comment le savoir ?
— Janvier : Tant et tant sont tentés qui sont restés sur leur attente !
— Elliott : Au moins l’ont-ils su !
— Janvier : Ils l’ont su.
— Elliott : J’aimerais savoir…
— Janvier : Laisse-toi tenter !
— Elliott : Je suis tenté !
— Janvier : Saute le pas.
— Elliott : D’abord je vais promettre que je vais faire des promesses…
— Janvier : Mais lesquelles ?
— Elliott : Je ne sais pas encore, eux le diront.
— Janvier : C’est un bon début tu as un vrai talent !
— Elliott : Dès qu’ils m’auront dit ce qu’ils souhaitent, je deviendrai l’image de leurs souhaits.
— Janvier : Tu auras sans nul doute un fier succès.
— Elliott : Ce n’est pas le succès qui m’intéresse.
— Janvier : Ah !
— Elliott : J’ai du mal avec mes désirs, à vrai dire je n’en ai guère, tant et tant je suis bien, naturellement bien.
— Janvier : Être bien est ton état.
— Elliott : Je suis un homme d’état !
— Janvier : Celle-là n’était pas facile à éviter c’est sûr.
— Elliott : Que d’autres aient des souhaits est quelque chose qui me surprend et me passionne !
— Janvier : Tu veux t’emparer de leurs souhaits ?
— Elliott : Capter leurs désirs.
— Janvier : Tu veux voler leurs rêves !
— Elliott : Je veux prendre la place de leurs rêves !
— Janvier : Tu veux être leur rêve ! Tu as la fibre, tu iras loin !
— Elliott : Je veux rester ici et vivre avec leurs rêves.
— Janvier : Eux resteront chez eux avec ton image.
— Elliott : Chacun chez soi, les lois seront bien gardées.
— Janvier : Ça c’est un vrai programme !
— Elliott : J’hésite encore
— Janvier : N’entends-tu pas la rumeur qui monte ?
— Elliott : Leur rumeur ?
— Janvier : La leur qui te réclament !
— Elliott : Sûrement suffit-il de savoir qu’ils me réclament.
Personnellement, je trouve qu'il y a du DEVOS chez l'auteur; oh, bien sûr, par l'homme de spectacle (je ne le connais pas), pas le coffre sans doute, mais la tête ....
Marc Pottier 31 août
— Elliott : La politique me tente !— Janvier : Pourquoi te tente-t-elle ?
— Elliott : Beaucoup de gens sont dans l’attente.
— Janvier : Peut-être n’est-ce pas toi qu’ils attendent ?
— Elliott : Comment le savoir ?
— Janvier : Tant et tant sont tentés qui sont restés sur leur attente !
— Elliott : Au moins l’ont-ils su !
— Janvier : Ils l’ont su.
— Elliott : J’aimerais savoir…
— Janvier : Laisse-toi tenter !
— Elliott : Je suis tenté !
— Janvier : Saute le pas.
— Elliott : D’abord je vais promettre que je vais faire des promesses…
— Janvier : Mais lesquelles ?
— Elliott : Je ne sais pas encore, eux le diront.
— Janvier : C’est un bon début tu as un vrai talent !
— Elliott : Dès qu’ils m’auront dit ce qu’ils souhaitent, je deviendrai l’image de leurs souhaits.
— Janvier : Tu auras sans nul doute un fier succès.
— Elliott : Ce n’est pas le succès qui m’intéresse.
— Janvier : Ah !
— Elliott : J’ai du mal avec mes désirs, à vrai dire je n’en ai guère, tant et tant je suis bien, naturellement bien.
— Janvier : Être bien est ton état.
— Elliott : Je suis un homme d’état !
— Janvier : Celle-là n’était pas facile à éviter c’est sûr.
— Elliott : Que d’autres aient des souhaits est quelque chose qui me surprend et me passionne !
— Janvier : Tu veux t’emparer de leurs souhaits ?
— Elliott : Capter leurs désirs.
— Janvier : Tu veux voler leurs rêves !
— Elliott : Je veux prendre la place de leurs rêves !
— Janvier : Tu veux être leur rêve ! Tu as la fibre, tu iras loin !
— Elliott : Je veux rester ici et vivre avec leurs rêves.
— Janvier : Eux resteront chez eux avec ton image.
— Elliott : Chacun chez soi, les lois seront bien gardées.
— Janvier : Ça c’est un vrai programme !
— Elliott : J’hésite encore
— Janvier : N’entends-tu pas la rumeur qui monte ?
— Elliott : Leur rumeur ?
— Janvier : La leur qui te réclament !
— Elliott : Sûrement suffit-il de savoir qu’ils me réclament.
Entendez-Vous la Rumeur
qui Vous appelle ?
"Etonnant, Non ?"
qui Vous appelle ?
"Etonnant, Non ?"
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